Le rhétoricien retors

Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! Le Copier-Coller, c’est mal, dites non au Copier-Coller ! v

Le Copier-Coller c’est l’oeuvre du Malin.

My so cold life

Cher mon blog,

J’ai reçu tout récemment des mails me reprochant, dans des propos à la limite de l’intolérable, d’en dire trop peu, voire pas assez, sur ma vie trépidante.

Hé bien voilà, comme tu peux le voir, je suis actuellement en vacances sportives dans le froid, au pays des neiges éternelles.

Je m’amuse comme un petit fou, je dévale en surf les pistes noires à fond les ballons quand je ne fais pas le cake en hors-piste.

J’en ai d’ailleurs profité pour raser ma fausse barbe qui m’incommodait quelque peu, tu ne m’en voudras pas trop.

Bref, c’est le bonheur, et j’espère réussir à trouver le temps de t’écrire les jours qui viennent.

Bien amicalement,

Bande d’obsédés

Cole Porter – Night And Day (1946)

A voice within me keeps repeating
You … you … you
Night and day, you are the one
Only you beneath the moon or under the sun
Whether near to me, or far
It’s no matter darling where you are
I think of you
Day and night, night and day

Daran – Quelque chose en moi (2000)

J’ai dans la tête une petite voix
Qui veille sur ma liberté
I rrésistiblement
Elle me tourmente depuis des mois
Elle voudrait tant m’apprivoiser
Elle m’entraîne
Un peu plus loin d’ici chaque jour
Quoi que je fasse
Vers d’autre imaginaires

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

J.Darion / J.Brel – La Quête (1968)

Telle est ma quête,
Suivre l’étoile
Peu m’importent mes chances
Peu m’importe le temps
Ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l’or d’un mot d’amour

Johnny Cash / U2 – The Wanderer (1993)

Yeah I left with nothing
But the thought you’d be there too
Looking for you…
Yeah I left with nothing
Nothing but the thought of you…
I went wandering

OK Computer

Mmm salut ca va ?

Voici ce que je disais à Nacara hier.

Le questionnaire hebdomadaire connu sous le nom de Mercredix me rappelle le fameux test de Voight-Kampff – consistant à déterminer si l’on a affaire à un humain ou à un androïde – que l’on trouve dans le livre Do androids dream of electric sheeps ? et bien sûr dans le film qui en est inspiré, à savoir Blade Runner.

En effet ces questions semblent n’avoir aucun point commun entre elles, sinon celui de chercher à tester la sensibilité, l’émotivité, l’empathie, par exemple en mettant en place des situations de la vie courante purement hypothétiques – et parfois tordues – ou en interrogeant les souvenirs de ceux qui se prêtent au jeu.

Davantage encore, le Mercredix me rappelle le test conçu par Alan Turing, papa de l’informatique moderne, test visant à déterminer si une machine est capable de « penser ».

L’idée du test est la suivante :
Un expérimentateur humain entame une conversation, par écran et clavier interposés, un peu à la manière de ICQ ou autre IRC.
S’il est convaincu d’avoir dialogué avec un autre être humain alors qu’il vient en réalité de discuter avec une machine, alors d’une part il s’est bien fait avoir, et d’autre part la machine a réussi le test de Turing.
A ce jour, aucune machine n’y est arrivé, contrairement aux prévisions de Alan Turing.

Les questions du Mecredix feraient de bons candidats à la déstabilisation d’une éventuelle Intelligence Artificielle dans le cadre d’un test de Turing, ou, au contraire, à la mise en évidence de l’humanité de l’interrogé.

Je ne suis donc pas vraiment étonné de constater la popularité de ces questions dans le monde des blogs, où les élans de chaleur (ou de bêtise) humaine se heurtent aux clôtures électriques d’Internet dans une ambiguité troublante.

Pour en revenir à Nacara, je dois avouer que son refus véhément de mon Kinder Bueno, pourtant proposé avec le sourire, laisse flotter dans mon esprit un doute quant à sa nature humaine.