Tous les articles par telex

Maintenance

J’ai profité du calme plat régnant à bord pour mettre un peu de désordre dans le brodel en y indexant mes guides et mp3 blogarythmiques plus ou moins récents.

Tu sais, je crois bien qu’un jour j’y mettrai aussi une liste de sites que j’aime vraiment, ce serait une bonne idée non ? Et puis en tout cas ce sera nettement moins chiant que d’essayer d’en parler intelligemment sur cette page.

Un air de famille

Bon, après tout, j’aime les challenges, alors poum, plutôt qu’une simple liste de liens, je vais te parler des sites que j’apprécie.

Je commencerai ce soir par Blogarithme, le blog de LN.

La première fois que j’ai surfé sur sa page web … il s’est passé quelque chose … presque immédiatement … j’avoue avoir un peu de mal à définir clairement l’émotion qui m’a traversé … une sorte de … de sensation de déjà-vu … je crois que je me suis rappelé mon enfance … j’ai voyagé très loin mais tout près tu vois, j’ai vécu un retour aux origines … je me suis vu ramener à qui je suis vraiment … un peu comme … comme Elliot avec E.T. sur son vélo … ou Florent Pagny et son poncho en Patagonie …

Mmm.

Familier !

Voilà le mot que je cherchais ! Familier ! Ce blog a le don de m’avoir paru instantanément familier, sans que je sache pourquoi !

Le retour du Va-et-vient

Ne t’éloigne pas trop
Laisse-moi t’espérer
Reviens aussitôt
Laisse-toi m’inspirer

Enfin ! Après avoir passé un certain nombre de mois en standby, Va-et-vient est enfin achevée, Rachel étant passée chez ouam afin d’enregistrer la partie vocale, plus communément appelée le chant.

On y retrouve toujours l’influence en provenance de Radiohead (ayant commencé à écrire la chanson fin 2001, époque où j’écoutais beaucoup ce groupe) et de Philip Glass (The Hours), toutefois pas aussi flagrante que pour Late Bloomer.

Bon.

telex – Va-et-vient (MP3, 5.82 Mo)

Ne m’approche pas trop
Laisse-moi respirer
Repars aussitôt
Laisse-toi m’espérer

Late Bloomer

Enfin ! Après un certain nombre d’heures de pianotage, grattage de guitare et de basse, enregistrements, arrangements, retours en arrière, recommencements, et puis alors même un presque-crash de disque dur, une nouvelle musique vient peupler la planète telex. (Je devrais d’ailleurs en refaire la présentation … ça devrait être interdit de faire des sites beiges)

Late Bloomer, avant de se trouver, semble ne pas trop savoir où elle va, et se laisse écouter plus difficilement que mes autres compositions. Notamment, le morceau peut être en effet divisé en trois parties aux rythmiques différentes. La première, au tempo de 68 battements par minute, repose sur des classiques mesures à 4 temps. Dans la deuxième viennent s’ajouter un second piano et un battement en triolets de noire, si bien que l’oreille préfère percevoir à partir de ce moment une nouvelle rythmique à 102 BPM avec mesures à 6 temps, à durées équivalentes (4/68 = 6/102). L’ancienne rythmique semble alors «tourner au ralenti» , ses noires étant dès lors entendues comme des noires pointées. Finalement, dans la dernière partie, les mesures passent de 6 à 4 temps, on revient donc à la structure carrée du début, mais avec un tempo de 102 BPM.

Bon.

telex – Late Bloomer (MP3, 4.15 Mo)

Guide à caractère technique

Bonjour,

Ce document, testé et approuvé par son auteur, détaille la marche à suivre pour se sentir con facilement.
Pré requis logiciel : Windows XP, eMule.

1/ De bon matin, juste avant de partir au boulot à la bourre, décider de laisser le PC connecté au Net durant la journée pour télécharger ce DivX tant convoité.

2/ Double-cliquer vite fait sur l’icône eMule.

3/ Démarrer rapidement le téléchargement de ce DivX tant convoité.

4/ Ouvrir promptement le menu Démarrer de Windows.

5/ Cliquer sur Arrêter et courir rattraper son bus.

6/ Si tout se passe bien, une sensation de lose doit apparaître le soir, une fois de retour chez soi.

Cordialement.

Extase et possession

Evil Dead 4

Je suis d’accord avec la nana du webmail de Wanadoo : le courrier électronique, c’est excellent, au point que cela tient probablement de la magie.

D’ailleurs, je suis comme elle. Avant de rédiger un message, je ne peux pas m’empêcher d’exprimer ma joie par un large grognement de bien-être tandis que mes bras effectuent d’amples moulinets, chorégraphie de bienvenue aux plaisirs épistolaires imminents.

Et lorsque je reçois du mail, oh purée, je suis pris d’une sensation de liberté vertigineuse, je traverse les saisons, l’esprit de la nouba est en moi.