Bienvenue dans Le petit parc juste en face (2.95 Mo)
Crudité d’un piano seul
Avec ses dissonances en demi-tons.
Bienvenue dans Le petit parc juste en face (2.95 Mo)
Crudité d’un piano seul
Avec ses dissonances en demi-tons.
Une lectrice s’est inquiétée de l’éventuel rapport entre les propos tenus par l’homme abject figurant dans le post «La vie en Orange» du 18 août, et ma propre personnalité.
Cette appréhension ne me paraît pas totalement injustifiée : le blog étant le plus souvent un outil servant systématiquement la représentation on-line de son égo à coups de belles confessions intimes et de jolis camshots persos, on n’y est que rarement invité à faire preuve de recul et de discernement.
Cela dit, je suis tout de même un peu vexé, et souhaite immédiatement te prouver que je suis capable d’associer des pensées tout à fait nobles à ce personnage de la gent masculine, dont je fais partie.
Dans le petit parc juste à côté, l’après-midi, il y a des vieux, des amoureux, et des gens qui lisent des livres.
La suite, tu la connais.
Courte tranche de vie prisonnière d’une situation si embarrassante que l’on souhaiterait s’évader ou plus simplement disparaître sans autre forme de procès, et que l’on aime pourtant, par la suite, parfois bien plus tard, à raconter à ses amis, autour d’un tendre grand verre d’auto-dérision où fondent lentement les petits glaçons des regrets.