Archives de catégorie : Histoire ancienne

Capitaine Flemme

Je t’ai parlé de ma chaise ?

Ma chaise est formidable.

Il s’agit d’une très jolie chaise à roulettes conjugant sobriété, élégance, classe et discrétion. Elle est dotée de cinq pieds à l’extrémité desquels sont placées ses petites roues lui autorisant des déplacements d’une aisance rare. Tu ne vas peut-être pas me croire, mais elle est nantie d’un levier, si si, qui d’une simple pression me permet d’ajuster sa hauteur en toute simplicité. Reposant sur une mécanique aux rouages ma foi fort bien huilés, je me suis surpris tout à l’heure à effectuer une rotation de folie à n’en plus finir. Confortable, elle semble avoir été spécialement conçue pour mes fesses.

Elle et moi, on ne se quitte plus.

Info-publicité

Aujourd’hui, dans cette blogosphère, il y aura 3522 posts, 4506 commentaires, 13 fermetures, 42 nouveaux sites, 310 actes de linksluting, 279 copier-coller et 125 nouveaux camshots, ce qui, par blogueur, correspond à l’énergie contenue dans un Groumpfy au chocolat.

Les Groumpfies de Captain telex ? L’énergie pour une vie de blogueur !

En vente par correspondance dès maintenant.

Héhé bloga, avec cette pub, on va réussir à vendre nos Groumpfies comme des petits pains, tu vas voir !

La solution de l’énigme des moines fous

Salut Bloga,

Figure-toi que le pseudo-nommé sank a trouvé la solution de l’énigme des moines malades.

L’oeuvre du Malin aura décidément raison de moi, je copie-colle ci-dessous son explication concise et précise.

Reponse a l’enigme : Ils se suicideront apres le repas du 14eme jour suivant l’annonce.

Pourquoi ?

Petit raisonnement par recurrence:
1 Moine seul se suicide le soir meme puisqu’il ne voit aucun malade
2 Moines se suicident le lendemain car chacun d’eux constate que l’autre malade est encore en vie au second jour ce qui signifie qu’il y a un autre malade que l’autre, qui ne peut etre que lui meme (puisqu’il ne le voit pas)

On intuite donc que N moines malades vont se pendre au soir du Nième jour.

Par extension, tous les moines faisant le meme raisonnement que moi, car ils sont tres tres forts, si N+1 moines sont malades, chacun d’eux pourra voir de ses yeux N malades. Supposant que ces N malades devraient logiquement se suicider au soir du Nième jour, chaque moine souffrant deduira qu’il est atteint en constatant que les N autres malades sont encore la au N+1eme jour. (Les moines saints, eux ont compte les N+1 malades, et n’envisagent donc pas qu’ils sont atteints puisque nous sommes au Nième jour, pour eux seul le repas du lendemain constitue la date butoir tant redoutée). Donc les N+1 moines periront bien cette nuit la en validant par la meme leur propre raisonnement.

Les pauvres.

L’énigme des moines fous

Depuis le temps que tu l’attendais, la voici.

Un groupe de cent personnes vit reclus dans un monastère.
Ca tombe bien, c’est des moines.

Ils ne peuvent ni ne veulent se voir dans un miroir, ou tout autre surface réfléchissante – oui, comme une flaque d’eau, par exemple.
Ils ne peuvent ni ne veulent communiquer entre eux, par quelque moyen que ce soit.

Tous les moines se réunissent une et une seule fois par jour, pour bouffer.

Un jour, ils apprennent une terrible nouvelle, par l’intermédiaire d’un pigeon voyageur.
Une maladie a frappé *au moins* un d’entre eux, mais ils ne savent pas combien exactement.
Le symptôme est un point vert sur le front.

Chaque moine a pour ordre de se suicider s’il est convaincu d’être malade, et ce juste après le repas quotidien.

Au bout de combien de jours tous les moines malades se seront suicidés, si je te dis qu’il y a 14 moines malades ?
Et pourquoi ?

La solution est très chiante et tirée par les cheveux.

Nous allons tout droit dans botte de foin

Il fût une époque où je me prenais pour un champion de courses de voitures à chaque partie de Rally Championship 2000.
J’avais même pris l’habitude d’abandonner ma casquette de captain pour un casque de pilote automobile, le temps d’une étape de folie.
Bref, j’étais très passionné. Vroum.

Cependant, comme j’étais aussi très mauvais, j’étais souvent dans les derniers et cela m’agaçait.
Aussi un beau jour décidai-je de me venger de mes co-pilotes informatisés, dont les conseils douteux et indications fallacieuses étaient bien entendu responsables de mes déboires sportifs.
Contribuant à l’oeuvre du Malin, j’entrepris de saccager ces voix-off de pacotille à grands coups de copier-coller sonores.

Ainsi, à défaut d’essayer de me fourvoyer, elles réussirent à me faire sourire.

En voici quelques bribes.
Extrait 1Extrait 2Extrait 3