Des idées de variantes d’émissions existantes, à développer.
Free Juice Dans la belle ville ensoleillée de Fréjus, 10 nanas et 10 mecs se partagent une chambre à coucher de 15m² filmée 24h/24 par 53 caméras. Des boissons alcoolisées leur sont servies à volonté, dans l’optique de favoriser les prises de contact.
Lille Déserte Un studio de 15m² filmé 24h/24 par une webcam pourrie dans un quartier morne et pluvieux. En journée, l’unique locataire part bosser à la COGIP, il rentre tard le soir, poste une connerie sur son blog, et se branle hors-champ. (en regardant Free Juice)
J’étais en train de faire les poussières lorsque j’ai réalisé que mon aspirateur pourrait m’éviter bien des tracas, musicalement parlant … au lieu de me prendre la tête à peaufiner ces arpèges à la guitare, travailler ces accords au piano, ou fignoler cette mélodie à la clarinette, pourquoi ne pas laisser libre à cours à l’aspiration de cet outil ménager qui ne manque pas d’air.
J’ai alors enregistré un petit jingle (j’aime bien les petits jingles), appelé Aspiration(500 Ko), mettant en avant ses capacités à produire du bon son et des mélodies sympas tout en me demandant un minimum d’efforts.
Je suis plutôt satisfait du résultat, il n’est pas sans rappeler Flat Beat, ce qui force le respect.
Une boîte à rythme, trois couches de guitare et une ligne de basse, j’ai récemment créé un jingle que j’ai appelé Soap Opera(mp3, 700 ko, nécessite une carte son et des haut-parleurs). En effet je le verrais tout à fait accompagner le générique d’une série TV relatant les déboires sentimentaux d’adolescents perplexes de vingt-trois ans et demi. (ou un casque)
L’heure du goûter passée, Linepo ne s’est pas présentée, je me retrouve donc esseulé, à manger mon désert glacé … mmm quitte à paraître un peu gras, j’avoue que j’aurais bien fait des cochonneries avec cette étudiante en histoire de lard.
La chanson Blues run the game de Jackson C. Frank débute par ces paroles :
Catch a boat to England baby Maybe to Spain Whereever I have gone Whereever I’ve been and gone Whereever I have gone The blues are all the same
Sa reprise par Graeme Allwright écrite en 1968 commence sur ces mots :
Prends le train pour l’Angleterre ou bien l’Espagne Partout où je voyage Je perds ou bien je gagne.
Donnez-moi des boissons fortes et des liqueurs Je fermerai ma porte Mais je n’fermerai pas mon coeur.
Cet homme est fou. Avant le tunnel sous la Manche, comment peut-on prendre le train pour l’Angleterre quand on est en position de le prendre pour l’Espagne également ?
Alors soit il a abusé des boissons fortes et des liqueurs, soit c’est un visionnaire … ou bien les deux. Auquel cas je me demande s’il pourrait y avoir une relation de cause à effet.
Ses cheveux marrons chauds Ses yeux brouillés Ses cils flottants Son fard breton Sa peau de crème Ses petites joues-fleurs Son teint du Sud Ses seins doux et ses flancs moelleux
Soyons francs, soyons directs : Linepo, à l’heure du goûter, je te dévore toute nue !